Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine ? Le meilleur moment c’est maintenant !
Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine, alors que l’on n’a plus vingt ans, et qu’on se dit qu’il aurait fallu démarrer beaucoup plus tôt…
Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine, alors que l’on n’a plus vingt ans, et qu’on se dit qu’il aurait fallu démarrer beaucoup plus tôt…
Et ben voilà ! Tout a commencé il y a deux mois, par un message de ma soeur m’annonçant qu’Amazon, en collaboration avec Femme Actuelle, lançait un concours d’écriture sur le développement personnel, marrainé par Florence Servan-Schreiber.
Dans la rubrique « je fais ma part de colibri », je vous partage le truc du jour : quand je marche dans la rue (ou dans la forêt, ou que je prends le train ou autre), je ramasse une saleté sur mon trajet, et je la mets à la poubelle.
Bon le vrai titre ça serait plutôt « y aller avec la peur », car je la vois comme une alliée et pas une adversaire, mais c’est plus habituel et clair si j’écris « malgré la peur » pour le moment…
Aujourd’hui j’aimerais revenir un peu sur l’article du lâcher prise des jours tout gris, car il y a quand même deux aspects sur lesquels je suis passée un peu vite, c’est la difficulté qu’il peut y avoir à lâcher complètement, et la confusion qu’il peut y avoir avec « renoncer à prendre soin de soi ».
En 2013 j’ai découvert cette notion de proactivité, au travers de la lecture de Stephen R. Covey. Avant même la découverte du processus de la Communication Nonviolente, ça a été pour moi une étape indispensable de développement personnel, un des tout premiers jalons sur mon chemin. Je vais commencer par tenter d’expliquer ce qu’est la …
Le vent dans les arbres la nuit, des ombres qui passent sans bruit, il y a une part de moi qui frémit, Maman Papa y a un crocodile sous mon lit, et je n’ai pas peur. Ça tourbillonne et la vie m’emporte, à peine le temps de respirer, je sens tout contre moi la terreur d’être en apnée, …
Une invitation pour aujourd’hui, celle d’aller lire un texte qui s’appelle l’invitation justement : Le poème original d’Oriah, issu de son livre éponyme, lisible dans la colonne de gauche sur sa page web : The invitation – Oriah Mountain Dreamer. L’invitation en français : on trouve de nombreuses traductions sur internet, par exemple ici, je vous laisse en …