Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine ? Le meilleur moment c’est maintenant !
Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine, alors que l’on n’a plus vingt ans, et qu’on se dit qu’il aurait fallu démarrer beaucoup plus tôt…
Comment oser se lancer dans un truc de longue haleine, alors que l’on n’a plus vingt ans, et qu’on se dit qu’il aurait fallu démarrer beaucoup plus tôt…
Et ben voilà ! Tout a commencé il y a deux mois, par un message de ma soeur m’annonçant qu’Amazon, en collaboration avec Femme Actuelle, lançait un concours d’écriture sur le développement personnel, marrainé par Florence Servan-Schreiber.
Dans la rubrique « je fais ma part de colibri », je vous partage le truc du jour : quand je marche dans la rue (ou dans la forêt, ou que je prends le train ou autre), je ramasse une saleté sur mon trajet, et je la mets à la poubelle.
Bon le vrai titre ça serait plutôt « y aller avec la peur », car je la vois comme une alliée et pas une adversaire, mais c’est plus habituel et clair si j’écris « malgré la peur » pour le moment…
Le vent dans les arbres la nuit, des ombres qui passent sans bruit, il y a une part de moi qui frémit, Maman Papa y a un crocodile sous mon lit, et je n’ai pas peur. Ça tourbillonne et la vie m’emporte, à peine le temps de respirer, je sens tout contre moi la terreur d’être en apnée, …
Dans mon blog précédent j’avais parlé de procrastination, et j’ai envie aujourd’hui de reprendre cet article en le mettant à la sauce CNV (Communication Nonviolente) et en le mettant à jour à la lumière de là où j’en suis sur mon chemin.
Une invitation pour aujourd’hui, celle d’aller lire un texte qui s’appelle l’invitation justement : Le poème original d’Oriah, issu de son livre éponyme, lisible dans la colonne de gauche sur sa page web : The invitation – Oriah Mountain Dreamer. L’invitation en français : on trouve de nombreuses traductions sur internet, par exemple ici, je vous laisse en …